jeudi 25 mai 2017

Le Directeur Marxiste des Jésuites du Pape
Le Père Arturo Sosa Abascal, un Communiste et Moderniste Vénézuélien,
réalise l'agenda de François.




Rédigé par : George Neumayr, auteur

SOURCE : One Peter Five
Le 24 mai 2017


Comprenant l'adage selon lequel la dotation d’effectifs constituent une politique en soi, le Pape François a planté des Marxistes dans toute l'Église, y compris au sommet de l'Ordre religieux troublé auquel il appartient. En 2016, les Jésuites, avec la bénédiction du Pape François, installèrent comme Supérieur Général un Vénézuélien, le Père Arturo Sosa Abascal, dont les convictions communistes sont depuis longtemps connues.

Sosa a écrit sur la « Médiation Marxiste de la Foi Chrétienne », arguant que l'Église devrait « comprendre l'existence des Chrétiens qui se qualifient à la fois Marxistes et qui s'engagent dans la transformation de la société capitaliste en une société socialiste ». En 1989, il a signé une lettre faisant l'éloge de Fidel Castro.

Empruntez n'importe quel couloir dans le Vatican de François et vous êtes susceptibles de rencontrer un Communiste de facto : François a un Communiste qui dirige son Ordre, un Communiste qui dirige son Conseil des Cardinaux (le Cardinal Hondurien Oscar Rodriguez Maradiaga), une Communiste qui dirige l’Académie Pontificale des Sciences sociales (Margaret Archer, sociologue Britannique qui a déclaré qu'elle représentait la « gauche Marxiste ») et des Communistes comme le théologien libéral de libération Leonardo Boff et la socialiste Canadienne Naomi Klein qui rédige ses encycliques.

Ce n'est pas un hasard si le seul candidat à la présidentielle des États-Unis qui a fait une visite au Vatican au cours de la campagne était un socialiste qui avait fait une lune de miel en Union soviétique. Bernie Sanders s'est présenté au Vatican en avril 2016, après avoir reçu une invitation du proche ami Argentin du Pape François, l’Évêque Marcelo Sanchez Sorondo.

« Nous avons invité le candidat qui cite le plus souvent le Pape pendant la campagne et c'est le Sénateur Bernie Sanders » a expliqué Sorondo, qui a ajouté que l’agenda de Sanders est « très analogue à celui du Pape ».

Dans cette atmosphère gauchiste à Rome, l'élévation de Sosa à la direction des Jésuites était inévitable. Dans le passé, les Jésuites ont été appelés les marines du Pape. Sous Sosa, ils ressemblent davantage aux Marxistes du Pape, diffusant la propagande du changement climatique comme prétexte au socialisme mondial.

Mais les ambitions de Sosa, comme celles du Pape François, vont bien au-delà de l'ingérence dans les économies. Il presse également pour une révolution morale dans l'Église qui est évidente dans son affirmation étonnante selon laquelle, puisque aucun des Apôtres n'a enregistré Jésus-Christ, Ses Paroles sur l'adultère peuvent être réinterprétées élastiquement.

« Vous devez commencer par réfléchir sur ce que Jésus a exactement dit » a déclaré Sosa à un intervieweur Italien en février. « À cette époque, personne n'avait un magnétophone pour enregistrer les paroles. Ce que nous savons, c'est que les Paroles de Jésus doivent être contextualisées, qu'elles sont exprimées dans une certaine langue, dans un environnement précis, et qu'elles s'adressent à quelqu'un en particulier ».

En d'autres termes, Sosa est convaincu qu'il comprend mieux le sens de Jésus que les écrivains Évangéliques. Comme François, Sosa ne peut pas résister au charabia de l’érudition biblique Moderniste, qui réussit toujours à tout faire concorder facilement avec des vues libérales.

Le Concile de Trente a expressément condamné l'affirmation selon laquelle les écrivains de l'Évangile ne faisaient qu’inventer des récits quand ils rapportaient les Paroles de Jésus-Christ. Mais Sosa n'a pas de problème à trafiquer cette hérésie.

« Au cours du dernier siècle dans l'Église, il y a eu une floraison d'études qui cherchent à comprendre exactement ce que Jésus a voulu dire » a-t-il déclaré.

La présomption ici est extraordinaire mais typique d'un acolyte de François. La nouvelle orthodoxie est l'hétérodoxie et Sosa s'y engouffre. Il a donné de petits sermons sur le relativisme comme cet énorme pavé :

« L'Église s'est développée au cours des siècles, ce n'est pas un morceau de béton armé. Elle est née, Elle a appris, Elle a changé. C'est pourquoi les Conciles Oecuméniques sont tenus afin de mettre l'accent sur les développements de la Doctrine. La Doctrine est un mot que je n'aime pas beaucoup, il apporte l'image de la dureté de la pierre. Au lieu de cela, la réalité humaine est beaucoup plus nuancée, elle n'est jamais ni noire ni blanche, elle se développe continuellement ».

Si Saint Ignace de Loyola était vivant aujourd'hui, l'Ordre qu'il a fondé ne l'ordonnerait pas et il se serait demandé comment un Protestant de facto a fini par s’asseoir sur la Chaire de Saint Pierre. Saint Ignace ne croyait pas non plus aux sophismes purs qui passent maintenant pour de « la sophistication » théologique dans son Ordre. Le Père Antonio Spadaro, un autre Jésuite proche du Pape François, a tweeté plus tôt cette année cette profondeur :

« La théologie n'est pas de la mathématique. 2 + 2 en théologie peut faire 5. Parce qu'il s'agit de de Dieu et de la vraie vie des gens »


Estomaqué par le gauchisme implacable de François et de ses assistants, Al Gore a demandé en 2015 : « Le Pape est-il Catholique ? » La question n'est plus une blague.

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